Liu Kiang

Chorn Hay

Khmer rouge ayant été le gardien de Sihanouk lors de sa détention à Phnom Penh.

Le Kamaphibal

Le Marchand Chinois

L’Ambassadeur du Japon au Cambodge

Les Paysans

Simon Abkarian et Zinedine Soualem en 1985.
Mao Sy, Khuonthan Chamroeun, Sok Kring, Huot Heang, Ong Phana en 2013.

Le Général Van Tien Dung

Le Général Văn Tiến Dũng (1917-2002) est un général de l’Armée populaire vietnamienne et ministre de la défense de la République socialiste du Viêt Nam de 1980 à 1986.
Durant la guerre du Viêt Nam, il planifia l’offensive du printemps de 1975 qui provoqua la chute de Saïgon et la réunification du pays sous le régime communiste.

Le Général Giap

« Il restera dans l’histoire l’un des grands chefs de guerre du XXe siècle, le seul à avoir successivement défait la France et tenu tête aux Etats-Unis d’Amérique. Le général Vo Nguyên Giap est mort le 4 octobre 2013 à l’âge de 102 ans.
La prise du camp retranché français de Diên Biên Phu en mai 1954 et la chute de Saïgon en avril 1975 demeurent les faits d’armes de ce leader au calibre exceptionnel : autorité personnelle, génie de la logistique, tacticien hors pair. Ces succès, indéniables, font du général Vo Nguyên Giap le dernier d’une lignée de grands stratèges vietnamiens qui, au fil des siècles, ont barré avec succès la route du Sud aux Chinois après les avoir chassés de leur sol. Pour sa part, Giap a largement contribué à faire échouer le retour des Français au Vietnam et, dans la foulée, en pleine Guerre froide, à casser la relève que voulaient assurer les Américains. » (Le Monde, Jean-Claude Pomonti)

Pham Van Dong

Pham Van Dong est un homme politique et diplomate vietnamien, né en 1906 et décédé en 2000. Proche collaborateur de Hô Chi Minh, il fut Premier ministre de la République démocratique du Viêt Nam (Nord Viêt Nam) de 1954 à 1976, puis Premier ministre du Viêt Nam après la réunification de 1976 à 1986.

 

 

Etienne Manac’h

Etienne Manac’h, sans doute l’un des grands diplomates français du XXe siècle, a commencé sa carrière en tant que professeur de philosophie pendant la Seconde guerre mondiale au lycée franco-turc d’Istanbul pendant la seconde guerre mondiale. Là, il s’est rallié à la résistance, et a été chargé de développer des contacts clandestins avec des membres de la Résistance dans les Balkans.
Voilà comment après la guerre, il a été nommé à l’ambassade de Prague par le Général de Gaulle. Expulsé de Tchécoslovaquie en 1951 avec d’autres diplomates occidentaux, pour soutien à des « éléments hostiles au régime », il a occupé par la suite divers postes, notamment directeur de cabinet de Guy Mollet ( 1958-1959 ) et au ministère des Affaires étrangères à partir de 1960-1969, où il a joué un rôle influent dans la mise en place de négociations entre Washington et Hanoi pendant la guerre du Vietnam.
De 1969 à 1975, Manac’h a été ambassadeur en République populaire de Chine.
Il est mort dans sa Bretagne natale, en 1992.
Il a publié plusieurs livres de son vivant et le journal intime qu’il a tenu tout au long de sa vie a été publié en 2008.

Ce rôle a été tenu par Bernard Martin en 1985 puis par Chhit Chanpireak en 2013.

Chhit Chanpireak (Hou) est comédien. Il travaille dans l’équipe “Awareness Theatre” de Phare Ponleu Selpak depuis 2003. Il interprète trois personages : Le prince Sisowath Sirik Matak, l’un des russes dans l’entourage de Kossyguine et Etienne Manac’h, ambassadeur de France à Pékin. En 2011 il a été chargé par PPS de développer leurs activités dans le domaine du théâtre.